400 morts et des centaines de blessés le 21 octobre à Eseka au Cameroun : Non, ce n’est pas le bilan d’un massacre revendiqué par Daesh ou par Boko Haram dont les médias et les politiciens aiment s’abreuver pour alimenter un climat de peur et justifier l’’’union nationale’’ derrière les exploiteurs. ... (Lire la suite...)